La question était posée de telle façon, qu’une réponse positive était supposée être difficile. Le pouvoir hongrois a interrogé son peuple, dimanche 02 octobre 2016, en lui soumettant la formulation suivante : « Voulez-vous que l’Union européenne décrète une relocalisation obligatoire de citoyens non hongrois en Hongrie sans l’approbation du parlement hongrois ? » En gros, répondre par « oui » devait revenir, aux yeux des partisans du gouvernement et des médias dominants, à dire : « Oui, je veux bien être un (...)